Ça vaut le détour !
Articles par :

Kassy Charbonneau

Circulaire – 12 au 18 mars 2020

 
Circulaire – 12 au 18 mars 2020 1294 2000 Kassy Charbonneau

Circulaire – 5 au 11 mars 2020

 
Circulaire – 5 au 11 mars 2020 1294 2000 Kassy Charbonneau

Circulaire – 27 février au 4 mars 2020

 
Circulaire – 27 février au 4 mars 2020 1294 2000 Kassy Charbonneau

Circulaire – 20 au 26 février 2020

 
Circulaire – 20 au 26 février 2020 1294 2000 Kassy Charbonneau
Bouteille de sirop d'érable avec crêpes

7 faits sur le sirop d’érable

 
7 faits sur le sirop d’érable 990 650 Kassy Charbonneau

Liquide d’or et sacré des Québécois depuis plusieurs siècles, l’érable se décline en une multitude de saveurs allant des fins accents de caramel aux petits fruits. Il permet de rehausser le goût des autres aliments tout en remplaçant les agents sucrants de plusieurs recettes, et ce, de l’entrée au dessert. Délicieux et polyvalent, l’érable est surtout un incontournable du temps des sucres ! De la tire sur la neige aux oreilles de crisse, on s’en lèche les babines. En ce mois de l’érable, rendons-lui hommage.

1 – L’arbre chanceux

Sur plus de 150 espèces d’érable, seulement deux produisent de la sève ou de l’eau d’érable essentiel pour produire le sirop d’érable. Plus précisément, ce sont les érables à sucre et les érables rouges qui produisent ce délicieux nectar dont il faut 40 litres pour obtenir un litre de sirop.

2 – Une multitude de produits

L’érable ne se résume pas qu’au simple sirop. On retrouve cette saveur en plusieurs déclinaisons, dont le beurre, la tire, les flocons, le sucre, l’eau et l’alcool d’érable. Si l’eau est parfaite pour parfumer les bouillons et les soupes, elle est aussi merveilleuse pour vos recettes de poisson poché. Les flocons d’érable, quant à eux, sont exquis dans les mélanges d’épices ou sur de délicieux cupcakes. Un must autant avec la viande, les poissons et les légumes.

3 – Un trésor nutritif

Tout le monde devrait avoir cet ingrédient naturel dans sa cuisine de par toutes les possibilités et les nutriments qu’il offre. Dans l’érable, nous retrouvons des acides aminés, des phytohormones, des minéraux, des polyphénols, des vitamines, de l’acide organique et des glucides. En fait, il est possible de combler 72% de vos besoins quotidiens en manganèse avec 60 ml (1/4 de tasse) de sirop d’érable. On parle de 27% dans le cas de la riboflavine, 17% dans celui du cuivre et 6% pour le calcium.

4 – Un quatuor de couleurs

Ce liquide sacré se décline en quatre belles couleurs. Chaque couleur a un goût spécifique et est disponible à un moment précis de la récolte.

  • Doré : le sirop de couleur doré offre un goût délicat. Il est fabriqué à partir de la sève d’érable de début de récolte. Merveilleux sur le yogourt et la crème glacée.
  • Ambré : idéal pour les vinaigrettes et le nappage, le sirop doré propose un goût riche.
  • Foncé : on se rapproche ici d’une saveur plus caramélisée parfaite pour la cuisson, la pâtisserie et la confection de sauces.
  • Très foncé : cette couleur est celle qui offre le goût d’érable le plus prononcé et provient de la fin de la saison des sucres. Il est riche, distinctif et merveilleux pour les sauces.

5 – Deux catégories

Attention, il n’y a pas que la couleur et le goût qui permettent de distinguer le sirop d’érable, il y a aussi la catégorie et il en existe deux :  la catégorie A et la catégorie transformation. Ceci permet de choisir le meilleur sirop en fonction de votre utilisation.

  • Catégorie A : le sirop de catégorie A est celui vendu en épicerie. Il répond à diverses exigences telles que l’uniformité de la couleur, l’exemption de sédiments et de turbidité.
  • Transformation : tout sirop qui ne respecte pas les exigences de la catégorie A et qui sert à produire d’autres produits de l’érable.

6 – Une canne qui traîne?

Nous sommes tous tombés sur une canne de sirop dans le fond de notre garde-manger dont nous ne nous souvenions plus de la date d’achat. Ce qui est bien avec l’érable, surtout
le sirop, c’est qu’il peut se conserver des années. S’il s’agit de produits d’érable transformés, la date est souvent identifiée sur l’emballage. S’il ne s’agit que d’une canne non entamée, dites-vous que même si vous tombez dessus deux ans après l’achat, il y a de fortes chances qu’elle soit encore bonne. Si vous retrouvez un contenant ouvert, il faut s’assurer que le contenu n’ait pas été exposé trop longtemps à l’air et qu’il a été entreposé dans un contenant hermétique au frais.

7 – Le roi du sirop

La province du Québec génère près de 75% de la production mondiale du sirop d’érable. Les changements de température de l’hiver glacial au doux printemps permettent à la sève de couler et d’être récoltée dans les érablières. Au Québec, il y a plus de 7300 producteurs.

Que ce soit dans une bonne tarte, des grands-pères au sirop, une vinaigrette pour la salade ou encore une bonne tire d’érable traditionnelle, ce liquide doré parfume nos maisonnées depuis des années. Son odeur évoque mille et un souvenirs de notre enfance et de nos multiples visites à la cabane à sucre. Ce serait un péché de se limiter à ça, car l’érable est disponible à l’année et permet une grande polyvalence en cuisine. À vos marques, prêts, sucrez-vous le bec !
Des oeufs sur fond blanc

Pleins feux sur les oeufs

 
Pleins feux sur les oeufs 990 650 Kassy Charbonneau

Brouillé, miroir, en neige, en omelette ou dans un gâteau, l’oeuf est un aliment clé pour une multitude de recettes. Il fait lever certains aliments et peut les émulsifier en plus d’aider à épaissir, à lier, à enrober, à colorer d’autres aliments. Quand on y pense, il peut faire bien de la magie en cuisine et on craque définitivement pour lui.

Les composantes de l’œuf

Si certains résument l’œuf à ceci : une coquille, un jaune et un blanc, cet aliment est bien plus que trois composantes. En fait, il y en a huit : la coquille, la chambre à air, la membrane de la coquille, l’albumen (le blanc d’œuf), la membrane du jaune, le jaune, la chalaze et le disque germinatif. Ces huit parties ont toutes une fonction importante. Tandis que la coquille empêche toute bactérie de pénétrer l’intérieur, le disque germinatif est la porte d’entrée pour la fécondation. On retrouve dans les Å“ufs du fer, de la vitamine A, D, E B12, du folate, des protéines, du sélénium ainsi que de la lutéine. Un vrai trésor nutritionnel !

Une question de grosseur

Pee-wee, petit, moyen, gros, extra gros ou jumbo ? Devant cette vaste offre, il est facile de s’y perdre. Toutefois, pour bien comprendre, chaque catégorie est définie par un poids.

  • Pee-wee : moins de 42 g
  • Petit : au moins 42 g
  • Moyen : au moins 49 grammes
  • Gros : au moins 56 g
  • Extra gros : au moins 63 grammes
  • Jumbo : 70 grammes ou plus

La question est : quel calibre prendre pour vos plats préférés ? La plupart des recettes sont conçues pour des œufs dits « gros », mais on peut les substituer par des moyens ou des extra gros. Attention ! Il faut éviter la substitution en pâtisserie ou en boulangerie, surtout lorsque la recette demander de fouetter des blancs d’œufs. En ce qui concerne la couleur de la coquille, celle-ci dépend seulement de la race de la poule. Si vous avez des œufs blancs, c’est en général une poule aux plumes blanches qui les a pondus.

Pour bien conserver

Les cocos sont très fragiles et on ne parle pas seulement de votre facilité à les caser, mais aussi de la façon de les conserver. Il est préférable de les garder dans leur contenant original, car celui-ci les protège et prévient l’absorption des odeurs du frigo. Des Å“ufs à l’oignon ? C’est un peu moins intéressant ! Pour une conservation optimale, il faut les mettre sur la tablette centrale à l’intérieur de la porte de votre réfrigérateur.

Il vous reste des blancs ou des jaunes d’œufs crus ? Mettez-les dans des plats hermétiques et réfrigérez-les rapidement. Pour prévenir l’assèchement des jaunes, il suffit de les couvrir d’un peu d’eau froide que vous égoutterez avant l’utilisation.

Voici d’ailleurs quelque temps de conservation à garder en tête :

  • Frais en coquille : avant la date de péremption
  • Restant de jaune ou de blanc d’oeuf : 2 à 4 jours
  • Å’uf cuit dur : 1 semaine
  • Plats préparés à base d’œufs : 3 à 4 jours
  • Å’ufs marinés : 1 mois
  • Å’ufs entiers congelés (mélangés) : 4 mois

Soin des oeufs

Au retour de l’épicerie, assurez-vous de réfrigérer rapidement vos oeufs si vous ne les cuisinez pas tout de suite. La température froide du réfrigérateur  empêchera le développement de certaines bactéries nuisibles. Si jamais vous désirez tester la fraîcheur de ceux-ci, mettez l’œuf dans l’eau. Un Å“uf frais coulera dans l’eau alors qu’un plus vieux y flottera.

Il est aussi possible de congeler les œufs avec la coquille pour une utilisation ultérieure. Au moment de les cuisiner, vous devez les décongeler au frigo durant la nuit ou sous l’eau froide. Toutefois, vous ne pouvez les utiliser que dans des plats qui seront cuits. Il est aussi recommandé de n’utiliser que des œufs de catégorie A ayant été réfrigérés, soit avec une coquille propre et non fissurée.

Finalement, l’œuf a une place de choix dans presque tout ce que nous cuisinons et comble plusieurs rôles. Tantôt subtil dans un muffin, tantôt grande vedette dans une omelette, l’œuf est non seulement polyvalent, mais un choix gagnant en matière de nutrition.

3-facons-dynamiser-assiette

5 façons de dynamiser son assiette pour passer la fin de l’hiver

 
5 façons de dynamiser son assiette pour passer la fin de l’hiver 990 650 Kassy Charbonneau

Il n’y a rien de pire que le moment charnier entre deux saisons. Cette période où vous mettez le pied dans le printemps, mais qu’à l’extérieur, c’est encore un peu l’hiver. La pluie et la neige dansent ensemble. Votre moral a besoin de soleil, mais il n’est pas encore tout à fait là. Sauf que pour avoir un bon moral, et ce, peu importe la saison, il n’y a pas que la température à considérer, il y a aussi ce qui se retrouve dans et autour de votre assiette.

Créer une ambiance

On a tendance à croire que toute l’expérience d’une dégustation culinaire ne réside que dans l’assiette. Ce n’est pas tout à fait faux, mais il ne faut pas négliger ce qui l’entoure. La couleur de la pièce, la luminosité de celle-ci ou encore les odeurs qui s’y trouvent ont un impact direct sur la satisfaction ou le plaisir que vous pouvez éprouver en mangeant. Ça ne prend pas grand-chose pour créer une ambiance. Une chandelle allumée au lieu des lumières habituelles ou encore un beau bouquet de fleurs de chez votre marchand peuvent faire toute la différence. Pensez aux petits détails extérieurs à l’assiette qui peuvent égayer l’heure du repas.

Mettre de la couleur et de la fraîcheur

Exit le blanc et le gris que l’on croise tous les jours dans les rues, bonjour le mauve, le jaune et le vert qu’on peut consommer quotidiennement. Une assiette colorée est tout aussi invitante pour les yeux que pour la bouche. L’association entre le printemps, l’été et les aliments frais est indéniable. Alors, n’hésitez pas à intégrer la fraîcheur à votre alimentation. C’est bon pour votre moral, mais aussi pour votre santé.

Intégrer des recettes plus estivales

Vous savez, ces recettes qu’on ne tend qu’à cuisiner qu’au printemps ou en été ? Pensez à les intégrer à votre menu de la semaine. Par exemple, vous pourriez opter pour un petit frosé de temps à autre, un smoothie le matin ou un délicieux bol arc-en-ciel pour le souper. Cela vous permettra d’ensoleiller vos repas, mais aussi de laisser le temps à votre système digestif de faire la transition entre les deux saisons.

Mettre un plat végétarien au menu

Un peu de changement au menu, ça vous dit ? Pas que vos repas habituels ne soient pas bons, bien au contraire. C’est plutôt que l’humain a tendance à rester dans sa zone de confort. Il arrive souvent que les mêmes plats reviennent souvent dans la même semaine, faute de temps ou d’inspiration. Ça devient parfois redondant et il est facile de perdre le plaisir de manger. Pour remédier à la situation, osez mettre un plat végétarien au menu. Cela vous amènera fraîcheur et variété à ce que vous mangez tout au long de la semaine.

Porter une attention aux couverts

Comme mentionné plus haut, ensoleiller son alimentation va bien au-delà des ingrédients que vous choisissez. Ne sous-estimez jamais l’apport positif que la couleur ou le design d’une assiette, d’une fourchette ou d’un napperon peut avoir. Les aliments consommés sont importants, mais combiner le vert vif de la luzerne avec le rose bonbon de votre couvert peut multiplier le sentiment de bonheur que vous ressentirez. Manger est une expérience et le contenant en fait partie.

Ces méthodes peuvent sembler futiles, mais les petits détails font la différence. En les appliquant, vous effectuerez la transition vers le printemps de façon plus douce et plaisante. Amener le soleil un petit geste à la fois, ça commence par votre assiette et par une visite au Marché !

Assiettes de nourriture sur une table

Des idées pour vivre le brunch autrement

 
Des idées pour vivre le brunch autrement 990 650 Kassy Charbonneau

Le brunch est l’une des activités favorites des Québécois ! Que ce soit le dimanche matin en famille ou un samedi midi entre amis, on raffole du repas matinal sous toutes ses formes. C’est aussi le repas de la journée où il est possible de combiner sucré et salé dans une seule et même assiette. Le mot bonheur est inscrit en grosses lettres devant les plats succulents qui se trouvent devant nos yeux et notre bouche salive aisément, mais est-ce qu’un brunch se résume seulement à des Å“ufs, du bacon et des patates ? Pas nécessairement !

Osez déroger aux règles

Ne vous méprenez pas, l’assiette classique oeuf, bacon et rôties est un incontournable, mais il n’est pas obligatoire de ne servir que ça. Osez déroger aux règles en incorporant des aliments du dîner ou du souper qui se marient bien avec les recettes déjeuner que vous avez en tête. Pourquoi ne pas proposer une petite pizza déjeuner ou de petites quiches ? Pour les plus aventureux, essayez le tofu brouillé ! Le pire qui peut arriver, c’est que vous allez en manquer !

Revisitez les classiques

Un œuf miroir, des bonnes patates rôties et du bacon croustillant font le succès d’un brunch, certes, mais ils ne réinventent pas la roue. Pour faire changement, pensez plutôt à des recettes et adaptez-les en formule brunch. Par exemple, des gaufres avec avocat et œuf coulant pour remplacer les oeufs bénédictine, une casserole de patates douces pour faire changement de la patate « hash brown » ou des brioches au bacon. L’idée est simple : partez des ingrédients classiques du brunch et proposez-les de façon différente.

Ajoutez des options santé

Parfois, après un brunch, on se sent lourd et gonflé d’avoir ingurgité toutes ces calories. Des éléments frais et plus léger sont les bienvenus dans toute cette abondance de nourriture. N’hésitez pas à inclure des fruits de saison ainsi que des recettes composées de tofu, de légumineuses ou de protéines végétales. Une petite idée comme ça, pourquoi ne pas tenir un brunch végétarien ou végétalien pour le plaisir ?

Plongez dans la diversité

Des fruits, des légumes, du pain, des scones, des croissants, des brioches, des Å“ufs… La diversité amène une touche différente à votre brunch. Toutefois, elle ne s’applique pas seulement aux aliments, mais aussi aux boissons. Offrez des smoothies, de l’eau pétillante avec quelques fruits surgelés, des lattes au lait doré ou encore une boisson originale à laquelle on ne pense pas habituellement pour ce type d’événement. Vous pouvez aussi proposer un brunch complètement sucré, complètement salé ou un qui est un doux équilibre entre les deux.

Pour commencer votre quête, voici une recette parfaite pour vivre le brunch autrement : des petits pots de chia, framboises et pomme grenade.

Couple qui cuisine des aliments frais dans leur cuisine.

Mieux manger sans se priver

 
Mieux manger sans se priver 990 650 Kassy Charbonneau

Bien manger est quelque chose de relativement simple, mais qui comporte plusieurs nuances. C’est un défi quotidien d’équilibrer le contenu de son assiette pour mieux se nourrir. Mieux manger, c’est se sentir bien dans sa peau grâce à des repas constitués de vitamines et d’aliments frais. C’est avoir du plaisir à savourer ce que l’on mange, stimuler ses sens, et combler les besoins de son organisme. Doit-on se priver afin de bien se nourrir ? Bien sûr que non ! Il existe plusieurs façons d’améliorer son régime alimentaire sans avoir à se priver, et ce, une petite bouchée à la fois.

Plus de variété

C’est simple, avoir une assiette variée permet non seulement de découvrir de nouveaux aliments, mais aussi de répondre aux divers besoins de votre organisme. Cette variété vous amènera divers nutriments nécessaires à votre bon fonctionnement. Pourquoi ne pas opter pour des salades « différentes » comme une salade de choux de Bruxelles et pois sucrés ou encore une salade de saumon avec concombre en accompagnement ou repas ?

Plus de flexibilité

Nous craquons tous pour une recette plus qu’une autre, mais nous savons tous que de manger trop de biscuits aux pépites de chocolat n’est pas nécessairement la meilleure des idées. Osez changer un élément de votre recette favorite ! Que ce soit le chocolat par des canneberges ou la farine tout usage pour une farine de blé entier. Essayez de changer des éléments de vos recettes pour des aliments plus santé. Ceux-ci peuvent faire toute la différence dans votre alimentation.

Plus de satiété

Avez-vous déjà eu l’impression d’avoir une faim de loup, et ce, quelques minutes à peine après avoir mangé ? Certains aliments sont plus nutritifs que d’autres. En optant pour des flocons d’avoine, de quinoa, d’épeautre ou autre plutôt que des céréales génériques, vous vous assurerez d’atteindre cet état de satiété de façon optimale. En plus, manger lentement et prendre son temps aidera votre organisme à bien absorber les nutriments. Plus de satiété vous empêchera ainsi d’engloutir plus de calories que nécessaire.

Plus de végétaux

Les légumes sont vos meilleurs alliés pour une saine alimentation de même que les fruits. Ils regorgent de bonnes choses pour votre corps et aident à prévenir les maladies chroniques. En fait, les légumes devraient constituer la base de votre alimentation. Selon le nouveau guide alimentaire canadien, la moitié du contenu de notre assiette devrait être constitué de légumes et de fruits. Cuisinez plus de courgettes, de betteraves, de pommes de terre, de petits pois, de brocolis ou autres !

Plus de protéines végétales

Côté diversité dans l’assiette, il n’y a pas mieux que les protéines végétales. Végétarien ou non, réduire votre consommation de viande vous aidera à atteindre une alimentation équilibrée. Pour obtenir le bon apport de protéines, chose indispensable au bon fonctionnement de votre organisme, pensez à la protéine végétale : tofu, lentilles, tempeh, quinoa, chanvre, noix, etc. Si vous ne savez pas par où commencer, lisez notre guide ultime sur les protéines végétales.

Avant toute chose, pour mieux se nourrir, il faut avoir du plaisir. C’est comme pour le sport, vous ne le pratiquerez pas très longtemps si vous le détestez. Trouvez des façons amusantes d’incorporer ces nouvelles habitudes dans votre assiette. N’hésitez pas à miser sur des aliments frais et peu transformés. Tout cela passe aussi par la cuisine. Plus vous cuisinez, plus vous avez le contrôle sur ce que vous consommez. Alors, sortez votre couteau de chef et votre planche à découper, vos deux outils essentiels pour prendre votre santé en main.

Chocolat

Tout ce que vous ne savez pas sur le chocolat

 
Tout ce que vous ne savez pas sur le chocolat 990 650 Kassy Charbonneau

Sucré, salé, à l’orange, en cœur, en palette ou en boule, le chocolat est consommé depuis des lunes. Reconnu pour son réconfort et son côté aphrodisiaque, il est aussi associé au plaisir et à la Saint-Valentin. Toutes les occasions sont bonnes pour en manger, mais êtes-vous certain de tout connaître sur ce petit plaisir sucré ?

C’est la faute des Aztèques

Le chocolat détient son nom de l’Aztèque « xocoatl », un mot qui faisait référence à la boisson amère et épicée que les Aztèques produisaient à partir des fèves de cacao. Le peuple associait le chocolat avec la déesse de la fertilité et c’est ce qui, de siècle en siècle, aurait lié le chocolat à l’amour. Toutefois, il a été prouvé que le chocolat noir pouvait provoquer des pics de dopamine, un neurotransmetteur qui induit les sensations de plaisir.

Parfait pour l’effort

Le chocolat n’est pas qu’une simple gâterie de fin de soirée. Consommer un lait au chocolat aide à récupérer après un effort physique.

L’ennemi du chocolat

Le réfrigérateur n’est pas vraiment le meilleur ami de votre tablette sucrée. Une grande variation de température, et ce, rapidement, fera blanchir votre chocolat. Même chose s’il est maintenu dans un endroit trop humide, trop chaud ou trop froid. Si vous pouvez le consommer sans soucis, le seul moyen de lui faire retrouver sa couleur d’origine est de le faire fondre… Allô la délicieuse fondue au chocolat !

Les types de chocolat

Il n’existe que cinq types de chocolat soit le noir, au lait, le blanc, le blond et le rubis. Le blond et le rubis sont plus rares que les trois premiers et se distinguent par leur couleur dorée et rose. Tout le reste est une question d’arôme. Par exemple, votre chocolat à l’orange sera fait avec une base de chocolat noir ou au lait avec un arôme à l’orange ajouté.

De la qualité

Afin de savoir si votre chocolat est de qualité ou non, vous devez vous fier à ceci : il aura un fini brillant et uniforme. De plus, lorsque vous le casserez, la fissure sera nette et ne laissera pas de miettes. Il ne collera pas au palet non plus.

De bons nutriments

Le chocolat (plus précisément le cacao) s’avère une excellente source de magnésium, de phosphore, de fer, de manganèse et de zinc. Il fournit aussi des vitamines du complexe B en plus d’être très riche en antioxydants. Ces nutriments sont plus élevés dans le chocolat noir. Qui a dit que le chocolat était nocif pour la santé ? En fait, le seul hic à tout ça, c’est que le chocolat est très calorique et gras. À ne pas oublier.

Des bienfaits

Tous ces bons nutriments énumérés ci-dessus donnent des bienfaits au chocolat. Celui-ci a des vertus antistress, aide à réduire le cholestérol et la tension artérielle, soulage les symptômes prémenstruels, améliore l’état de votre peau et en manger quotidiennement pourrait aussi aider à diminuer les risques de prééclampsie lors de la grossesse.

Sa provenance

Le chocolat est fait de fèves de cacao et à l’instar du café, il existe plusieurs variétés. Toutefois, les cacaoyers ne peuvent être récoltés que deux fois par année. On ouvre par la suite les cabosses pour extraire la fève qu’on laisse fermenter afin de développer tous les arômes du chocolat. Puis celles-ci sont étendues au soleil pour sécher et éviter toute moisissure durant le transport. Elles seront par la suite torréfiées, rôties entières avec leur coquille, séparées et réduites en poudre.

Si vous savez maintenant plus de choses sur le chocolat, vous avez aussi l’eau à la bouche. Pour satisfaire vos envies de chocolat, cuisinez quelques-unes de nos recettes comme le chocolat chaud maison ou le gâteau mi-cuit. Bonne dégustation sucrée !